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Pourquoi nous n'irons pas à FestiFric ?
Auteurs : Benjamin Grassineau (voir aussi l'historique)
Date de création de l'article : 2012
Rubrique : Le journal de la culture libre et du non-marchand
Etat de la rédaction : achevé
Droit de rédaction : non éditable
Licence : Licence culturelle non-marchande
Création de la page: 26 novembre 2013 / Dernière modification de la page: 23 août 2022 / Propriétaire de la page: Benjamin Grassineau
Résumé :
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Réponse à un courriel le 20 février 2012.
- La première raison est bien sûr que c'est loin, et fondamentalement polluant comme tous ces festivals, congrès, colloques où des gens très intelligents viennent de très loin pour se regarder le nombril (rarement en âne ou en roulotte, allez savoir pourquoi!)...
- La deuxième raison est que c'est un projet subventionné à mort, probablement plein d'euros bien frais ! Paradoxe auquel nous n'avons pas super envie de participer.
- La troisième raison est que Patrick Viveret nous intéresse (très peu), mais pas plus que nos voisins, sur la question des échanges non-marchands. S'il veut vendre ses livres, il n'a qu'à les auto-publier. Marre de cette adoration quasi-religieuse pour des pseudo-stars intellectuelles ! Vive la science citoyenne !
- La quatrième raison est que le marché des monnaies complèmentaires est à notre avis une fausse solution pour de nombreuses raisons... En tous les cas, cette alternative n'est pas celle que nous défendons.
- La cinquième raison est que le projet nous paraît très formaté, avec pleins de petites techniques de la science du projet. Ce qui est démotivant.
- Et la sixième raison, c'est que nous avons pleins de choses bien plus rigolotes à faire qu'aller nous pavaner ou ragasser des contributeurs dans des messes modernes!
Catégories: Économie non-marchande
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